NOUVEAUX TEMOIGNAGES :
Paris le 9 février 2009
Après une embolie pulmonaire massive en février 2002, celles de mes artères pulmonaires qui n’avaient pas été obstruées se sont épaissies peu à peu en réaction aux flux de sang beaucoup plus important qu’elles devaient gérer.
Plus elles s’épaississaient, moins l’oxygénation du sang était correcte, plus le cœur était sollicité avec pour conséquence une assez forte augmentation du volume des cavités droites et plus mon essoufflement et mes malaises devenaient sévères.
Cette hypertension artérielle pulmonaire (HTAP) a été diagnostiquée en octobre 2006 suite à un malaise grave qui m’avait conduite aux urgences.
J’ai été mise immédiatement sous oxygène et sous traitement :
2 comprimés par jour de Tracleer
16 nanogrammes de Flolan en perfusion par cathéter central 24h sur 24, 7 jours sur 7.
Après un contrôle en mars 2007, il a été décidé de m’opérer pour déboucher les artères pulmonaires (tromboendartériectomie qui est une opération très lourde).
Malheureusement, l’HTAP a persisté après l’opération et j’ai du rester avec ce même traitement très contraignant et très fatigant. De plus j’étais sous oxygène une grande partie du temps. Je n’avais plus d’énergie et un moral assez bas.
En juillet 2007, une amie de mon fils m’a conseillé de rencontrer Cheyenne pour voir ce qu’il était possible d’améliorer.
Au cours d’une première visite, j’ai raconté mes malheurs et Cheyenne, avec beaucoup de douceur et de chaleur, m’a fait plusieurs massages, en particulier des membres inférieurs. Elle m’a conseillé un régime alimentaire (type crétois) et m’a donné un traitement homéopathique sans aucune interférence avec le traitement prescrit par l’hôpital que j’ai continué à suivre intégralement.
Je me souviens qu’en sortant de cette première visite je me suis sentie bien, avec l’impression d’avoir retrouvé mon énergie et aussi j’avais repris espoir.
Quand je suis retourné 6 mois plus tard à l’hôpital pour un contrôle, les médecins ont trouvé que la maladie évoluait dans le bon sens : ils ont arrêté l’oxygène et ont commencé à diminuer la dose de Flolan dans la perfusion (dose qui avait été augmenté après l’opération).
6 mois après, même chose et ils ont continué à diminuer le Flolan …
Et en septembre 2008, devant la nette amélioration de mon état, ils ont décidé de remplacer la perfusion de Flolan par un médicament plus léger (Révatio). Ils ont complètement arrêté le Flolan en janvier 2009 et j’ai ainsi retrouvé une totale liberté de mouvement.
Je ne suis pas complètement guérie puisque j’ai toujours un traitement médical mais je veux insister sur le fait que les médecins sont étonnés de voir à quel point mon état s’est amélioré. Ils m’ont répété plusieurs fois qu’il était très rare que le traitement de Flolan soit arrêté une fois qu’il avait été installé.
Ma famille et mes amis sont aussi impressionnés par la manière et la rapidité avec lesquelles j’ai repris le dessus. Je sais que les soins et le soutien de Cheyenne y sont pour beaucoup.
Je me sens très en forme, j’ai repris mes activités, je garde mes petits-enfants sans problème et je peux faire de longues promenades sans être essoufflée.
Enfin que la vie est de nouveau belleMichele Flanagan 72 ans
Philippe etait pratiquement sourd à 92% suite à un accident d'avion .. voici son temoignage
Ma chere Chey'n
Avant de te consulter j'avais fais faire chez mon prothesiste "entendre" bernard Hugon au sevrien rue se sevres dans le 6°,qui me traite depuis 10 ans un bilan auditif .apres 3 consultations chez toi je me suis refait faire un autre bilan Il est certain (ce que je constate moi meme) que mon audition s'est ameliorée.J'ai une sensibilité nettement supérieur ,donc j'entend mieux,ce qui est vrai car j'ai baissé la tonalité des appareils . J'ai encore des difficultés de compréhension surtout dans les aigues.... mais je constate que mon état general est meilleur,sur le plan du stress et que j'ai perdu 5 kg sans faire un gramme de régime et surtout depuis 5 mois je ne les pas repris.
Voici ce que je puis dire amities
ph Audoin 10 rue oudinot paris 75007
Parcours résumé de Christian G
Depuis que je suis né j’ai fait le compte : j’ai consulté une bonne centaine de médecins différents et en tous genres. A 54 ans je consulte Chey’n, énième tentative pour résoudre un problème de peau persistant depuis l’adolescence.
A 15 ans je contracte un acné virulent, purulent, qui m’enflamme le visage et dont je garde les marques définitives. Il s’avère que c’est un staphylocoque doré. Deux années de prise intensive d’antibiotiques ne règlent pas le problème. Au contraire. Mes intestins ont pris un coup sévère et apparaît une fissure anale. Mon grand-père, gastroentérologue, me prescrit des applications de pommade Bépanthène qui calment passagèrement la fissure.
A 18 ans, je rencontre Paul Nogier qui me fait découvrir l’auriculothérapie et l’homéopathie. Il réussit à calmer l’inflammation de la peau, à résorber la fissure mais celle-ci laisse place à un prurit qui ne va plus disparaître. Le gros côlon est sensible, irrité. Je fais des fièvres fréquentes avec inflammation de la sphère ORL, bronchites, etc.
De 20 à 30 ans je fréquente homéopathes, acupuncteurs, ostéopathes pour calmer ce prurit. Ils ne me procurent que des soulagements provisoires. Mais le prurit persiste, à vif et parfois avec saignements.
A 31 ans, une coproculture révèle la présence dans mes selles de Staphylocoque doré, amibes et un excès de Candica albicans. Plusieurs coprocultures seront faites au cours des vingt années qui suivent : elles révéleront toutes les mêmes résultats.
A 33 ans, j’adopte les préceptes alimentaires du docteur Kousmine. Quelques symptômes récurrents depuis l’adolescence disparaissent, tels que bronchites, pharyngites, sinusites. Mais le prurit ne s’en va pas, perturbant mes nuits et mes journées. Pour soulager les périodes de crises mon médecin « kousminien » me prescrit une crème à la cortisone, Diprosone. C’est enfin une prescription qui m’apporte un peu de soulagement. Mais je ne peux pas en faire un usage permanent. Le prurit reprend sitôt que je n’applique plus la crème. Donc, le problème de fond n’est pas réglé.
A 45 ans, un naturopathe de renom corrige encore une fois mon alimentation et me dit d’arrêter le Diprosone. Mon état général connaît de nouvelles améliorations mais le prurit réapparaît. Je retourne à la crème Diprosone régulièrement.
En février 2008, je consulte Chey’n.
Neuf mois plus tard, l’ensemble de son traitement (alimentaire, diététique, homéopathique, allopathique, ostéopathique, conseils d’hygiène) me permet d’arrêter totalement l’usage du Diprosone, de ne plus souffrir du côlon, de recouvrer une zone anale apaisée, d’améliorer la qualité de peau de mon visage. Les quelques crises d’élimination que ce traitement a provoquées lui ont permis d’ajuster les prescriptions. Et chaque fois que j’en ai eu besoin, elle a répondu à mes appels et trouver les moyens de m’aider.
A cette heure, je n’ai pas rencontré thérapeute en lequel j’aie placé plus grande confiance et plus grande gratitude tant Chey’n a su très vite saisir la problématique de mon corps dans sa globalité, tant elle trouve les remèdes justes, tant elle est attentive à m’accompagner sur ce chemin.
Temoignages Catherine Auber
A partir de janvier 2005, je commence à avoir des symptômes qui vont aller en s’amplifiant. Ce sont :
- des fourmillements dans tout le corps
- une très mauvaise digestion se traduisant par des ballonnements et un constipation très forte ; le gonflement du ventre est accentué au point d’entraver ma respiration
- un ralentissement du cœur et une sensation de froid intense
- la sensation d’être au bord de la perte de connaissance, de « partir »
Ces symptômes surviennent dès que je m’allonge que ce soit pour dormir ou pour faire du yoga par exemple. Dans la journée, j’ai des vertiges avec sensation de perte d’équilibre et une grosse fatigue.
Ces malaises deviennent si fréquents que de novembre 2005 à juin 2006 les différents médecins spécialistes que je consulte me font faire toute une série d’examens :
- examen radiologique de l’abdomen (œsophage et transit gastro-duodénal)
- radio de la colonne(cervicale et dorsale)
- échodoppler cardiaque et holter pendant 24h
- IRM cranio-cérébrale
- écho-doppler pulse cervico-encéphalique
- échographie carotidienne
- échographie thyroïdienne
- scintigraphie thyroïdienne
- examens approfondis chez une otorhino
Conclusions : j’ai : une « petite hernie hiatale » et « un débit de la carotide faible mais normale ». Des examens du sang montrent un disfonctionnement de la thyroïde(hashimoto).
Les spécialistes, mis à part la prescription de Lévothyrox, me disent tous la même chose : « je ne peux rien pour vous » et n’ont rien à me proposer, ce qui est particulièrement dur à entendre !
Le Lévothyrox soulage un peu la fatigue, mais les symptômes sont toujours là, les mêmes, et sont extrêmement pénalisants dans la vie quotidienne. J’ai la hantise de m’allonger le soir ; j’arrête certaines activités ; je crains de devoir m’arrêter de travailler tant la fatigue est intense et permanente et les nuits blanches à répétition.
Seule l’ostéopathie me soulage ponctuellement.
En janvier 2008, un ami me conseille d’aller voir Chey’n.
Suite à la première séance, les symptômes s’espacent et le moral s’améliore : je retrouve l’espoir.
Je revois Chey’n au rythme d’une fois tous les mois ou tous les deux mois et je peux la joindre par téléphone si nécessaire. A chaque fois, elle réajuste mon traitement, basé entièrement sur de l’homéopathie ou des méthodes et produits naturels. Elle me conseille d’arrêter le Lévothyrox (même conseil de la part d’un naturopathe très connu que je consulte sur les conseils de Chey’n qui souhaite avoir une confirmation de son diagnostic) : ce que je fais immédiatement car je n’ai jamais usé de médicaments forts comme celui-ci et les ai toujours mal acceptés.
Les symptômes n’empirent d’ailleurs pas en arrêtant ce médicament. Mais en septembre mes analyses de sang concernant la thyroïde s’améliorent très nettement.
En novembre 2008 ; le constat est le suivant :
- je n’ai quasiment plus de symptômes perturbants dès que je m’allonge
- je n’ai plus cette très grosse fatigue très handicapante
- la petite hernie hiatale me gêne encore mais j’ai appris comment gérer cette perturbation et à améliorer ma digestion de façon naturelle
Je constate aussi que j’ai un sommeil plus profond et que je récupère beaucoup plus vite.
Je comprends mieux ce qui se passe et Chey’n m’a montré comment agir.
Je me trouve même plus de vitalité et enfin je retrouve le goût de vivre.
Surtout je sais que je peux compter sur Chey’n, sur sa grande disponibilité et son désir sincère de trouver des solutions et puis j’ai rencontré une personne merveilleuse.
Catherine Aubert